

Nous, les humains, consommons beaucoup.
En 2018, le monde a perdu une zone de forêt tropicale primaire, de la taille de la Belgique. 31,7 milliards de tonnes de CO2 ont été relâchées dans l'atmosphère, et trois espèces se sont éteintes, et beaucoup d'autres ont été proches de l'extinction.
Parmi les conséquences négatives, nous citerons la rareté des ressources, le réchauffement climatique, la destruction des habitats naturels et des modes de vie, l'extinction des animaux et la pollution qui nuit aux personnes et à la faune.
Sans parler du coût financier de tout cela.
Le résultat global de tout cela est encore en cours d'élaboration,
mais le consensus est que de telles questions finiront par menacer la qualite de vie des générations futures. On a récemment calculé que, pour
maintenir notre consommation de ressources actuelle, il nous faudrait
l'équivalent de 1.7 Terres.
La fin de l'humanité ?
Il est clair qu'un changement monumental est nécessaire, et que chacun doit y mettre du sien, plus que jamais. Sinon, nous risquons de nous retrouver du mauvais côté d'une décision historique qui pourrait signifier la la fin de l'humanité.
Ce défi est le moteur de notre mission qui consiste à éduquer les gens sur les conséquences d'une consommation démesurée et inconsciente et à les inciter à vivre de manière plus durable.
C'est pourquoi nous faisons ce que nous faisons.